Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Avertissement

 Les textes et photos ne sont pas libres de droit .
Pour toute utilisation, vous devez contacter le propriétaire des écrits et photos ci-dessus pour obtenir son accord.

Dans le cas contraire, vous vous exposez à des poursuites judiciaires.

Mon livre d'or

Menu

7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 15:58

      

  Dans un ciel illuminé

  De toutes fleurs parsemées,Copie de DSCF4683

   Loin des chaumières,

  Un spectacle son et lumière. 

  Une palette de couleurs

  S’offre aux peintres amateurs.

  Divertissement radieux

  A en avoir plein les yeux.

  Le bouquet final

  C’est toujours un régal.

  Une dernière salve explose

  C’est l’apothéose.

  Scènes EphémèresCopie de DSCF4714

  Pleines de mystères.

  Toutes ces lumières,

  Quelle atmosphère !

  Le spectacle est terminé,

  Le spectateur est comblé.

  Les applaudissements

  Montent jusqu’au firmament.

 

                                      Serge    

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 20:45

Lorsque j'étais enfant,

Je rêvais d'être grand.

Lorsque j'étais enfant,

J’en voulais à mes parents.

 

Interdit de gaspiller le pain à table,

Obligé de sortir avec des chaussures convenables.

Interdit de jouer dans le tas de sable,

Obligé après l’école, d’ouvrir mon cartable.

 

Avec mes frères, nous étions insoumis,

Ma mère d’autorité était démunie.

Les enfants du quartier étaient de vrais amis,

Ayant la même éducation nous étions unis.

 

Les adultes avaient souvent des paroles blessantes,

Je fuyais alors sans la moindre attente.

Marchant d’un pas nonchalant au travers des sentes,

J’évacuais toutes ces réflexions révoltantes. 

 

Plein de choses trottaient dans ma tête,

J’avais envie que chaque jour soit une fête.

Apprendre pour plus tard être moins bête.

Je rêvais d'une vie un peu trop parfaite.

 

Grandir était ma seule préoccupation,

Pensant que seuls les adultes détenaient les solutions,

Qu’avec l’âge nous aurions plus de modération,

Maintenant j’ai la réponse à toutes ces questions.

 

                                                                 Serge

Partager cet article
Repost0
17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 22:40

 Dès l'aurore embrumée,Loin des villes

Je me suis équipé

Pour parcourir les cimes

Où les abeilles oublient le régime.

Le battement des ailes

Résonne dans mes oreilles.

Le vent tourbillonnant

Laisse entendre son chant.

Devant moi une sauterelle

Déploie  ses ailes

Et sur ma main se pose 

Pour écouter ma prose.Loin des villes 2

Dans la forêt  les cerfs brament.

Ces appels sont sans état d'âme.

Au dessus de ma tête, les rapaces

Tout en silence, font du surplace.

A l'ombre de mes épaules,

Les marmottes batifolent.

Des avions passent et repassent,

Avec des sillons blancs pour trace.

Loin du tumulte des villes,Loin des villes 3

Là haut sur la montagne, tout est tranquille.

 

                                                          Serge

Partager cet article
Repost0
18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 20:24

La bohémienne assise sur un banc,

Était toute vêtue de blanc.055 [Résolution de l'écran]

Ses cheveux farouches,

Embellissaient sa frimousse.

Comme hypnotisé,

Je ne cessais de la regarder.

Elle prit un pinceau

Et se mit à peindre un tableau.

Je restais bouche bée,
Face à ce talent inné.

Puis elle se leva,

Sans mot dire, elle flâna

Et alla de chemin en chemin,
Vers un nouveau destin.

Femme libre et sauvage,

Quelle belle image !

 

                                      Serge

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 06:35

   Un soir d’orage sous un arbre je me suis abrité.

   Je commençais à m’assoupir,

   Quand soudain un coup de tonnerre vint me réveiller

   Et m’empêcha de sombrer dans mes souvenirs.

 

   En cette nuit d’été, il pleuvait.

   La lune avait oublié de briller,

   Dans mes vêtements la pluie s’infiltrait,

   J'étais bien trempé.

 

   Un éclair illumina tout autour de moi.

   Comme dans  un mauvais rêve,

   Un deuxième me fit sursauter d’effroi.

   Pourvu qu’il y est une trêve !

 

   Les arbres prenaient forme humaine

   Et semblaient  se déplacer.

   Je me sentais attaqué par ces énergumènes,

   De peur, je ne pouvais plus bouger.

 

   Aurais-je encore un peu de temps 

   Pour aller frapper dans une chaumière

   Et demander asile quelques instants,

   Sans aucune manière ?

 

   Je ne suis pas un voleur,

   Juste demander un toit pour la nuit

   Et prendre un peu de chaleur,

   En attendant que passe la pluie.

 

   Fort heureusement, il est des êtres généreux

   Qui m’ont ouvert la porte,

   Et qui m’ont offert un repas copieux.

   Dans ce monde cruel, cela me réconforte.

              

                                                              Serge 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 09:35

    Tu échanges avec un être inconnu

    Des mots plutôt confus.

    Tu imagines son visage,

    Difficile d’avoir une image.

    Sous la plume glissent

    Des mots sans malice.

    Des mots trop difficiles à dire,

    Des mots que tu ne peux qu’écrire.

    Au plus profond de toi,

    Résonnent les mots avec émoi.

    Sur le papier se gravent les mots,

    Qui parfois te donnent des maux.

    Ces écrits, sans pour autant les inventer,

    Tu cherches à les améliorer.

    De ta missive tu es l’auteur,

    Le lecteur doit rester rêveur.

 

                                               Serge

 

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 22:15

    Comment fuir la solitude,

    Pour ne pas être désespéré ?

    Comment trouver béatitude,

    A une solution il faut arriver.

 

    Les canards sont dans la mare,

    La météo est mélancolique.

    De ce temps j'en ai marre.

    Je me mets à l'informatique.

 

    Seul devant l'ordinateur,

    Sur des sites je dialogue.

    En quête d’un interlocuteur,

    Parfois c'est du monologue.

 

    Frappe et frappe sur le clavier,

    Clic et clic sur la souris.

    Tu ne te lasses pas de rechercher,

    Tu veux fuir l'ennui.

 

    Tu reçois enfin une déclaration,

    Ta recherche s'avère fructueuse.

    Tu y prêtes toute ton attention,

    Pas de discussions aventureuses.

 

    Parler de la pluie et du beau temps.

    Dans tes propos tu restes sage.

    Pour répondre tu prends ton temps,

    En espérant un présage.

 

    Un virus t'empêche de continuer,

    Pas de chance !

    Tu ne peux plus papoter,

    Quelle malchance !

                                  Serge 

 

 

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 13:50
 
De ville en campagne, Sans aucun détour,
Je voyage sans compagne. Je ne pense pas à mon retour.
Dès le lever du soleil, Je m'arrête sur le bord de la route,
Je sors de mon sommeil. Personne n'est à mon écoute.
Jusqu'à la tombée de la nuit, Je vais aller voir ailleurs,
Mon ombre fidèle me suit. Si le monde est meilleur.
   
Sur la place du marché, Le sommeil arrive,
Des étals sont implantés. Le lit est sur l'autre rive.
D'un pas nonchalant, Je dois me reposer,
Je vais voir les marchands ambulants Mais rester éveillé.
Pour, avec un peu de honte, quémander Je n'ai pas trop d'inquiétude,
Quelques fruits abîmés. C'est juste une habitude.
   
Je coupe à travers bois, Sans domicile,
Quelques chiens aboient. La vie n'est pas facile.
L'un d'eux vient près de moi, Cette vie d'errance sans lendemain
D'une main je le caresse sans émoi. Est ce mon destin ?
La confiance entre l'homme et la bête, Il me faut continuer à marcher
Souhaitons que jamais elle ne s'arrête. 

 

Vers ma destinée.
   
                      Serge 
   
   
   
Partager cet article
Repost0
8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 13:17

Elle s’appelle Marie,                                     

A la vie elle sourit.

C’est une personne de raison,

Qui ne fait pas de façon.

En Picardie elle vit,

Son sourire me ravit.

De regarder les fleurs elle ne se lasse,

Et veille que personne ne les ramasse.

Pleine d’énergie,

Elle combat la maladie.

Certains jours ne sont pas gais,

Mais rien ne l’effraie.

Son amitié, elle me l’a proposée,

Difficile de refuser.

Nos ordinateurs,

Sont nos interlocuteurs.

Avec l’appareil photos elle reste en éveil,

Pour mémoriser le coucher du soleil.

C’est dans les balades en mer,

Qu’elle respire le grand air.

Lorsqu’elle cuisine,

On ne peut crier famine.

Sympathique sans barrière,

De son sourire elle en est dépensière.

                                   Sans chercher la raison,

Elle mérite un peu d’attention

 

                                                Serge 

 

Partager cet article
Repost0
31 décembre 2008 3 31 /12 /décembre /2008 00:03

Assis devant ce tapis bleu,

Tout nous semble merveilleux.

Le Vous est devenu Tu,

Cela nous a convenu.

Je te donne ma main,

Pour faire notre chemin.

Je t'offre mon coeur,

Pour faire ton bonheur.

Pourquoi n'es-tu pas là

Chaque jour dans mes bras ?

Que devient la vie sans toi

Si tu n'es pas auprès de moi ?

Soyons frère et soeur

Pour écouter nos coeurs.

Soyons amant et maîtresse

Pour connaître l'allégresse.

Pourras-tu me dire un jour,

Qu'avec moi c'est pour toujours, 

Et que, comme dans un conte,

Plus rien ne compte ?

 

                        Serge 

 

Partager cet article
Repost0